Assemblée générale annuelle
Fidèle à sa coutume, l'Association tenait son assemblée générale pendant le rassemblement annuel. Ainsi, elle rejoint le plus grand nombre de membres possible venant de plusieurs régions à la fois. On peut dire que c'est une formule gagnante puique plus d'une centaine de personnes y participaient.
Visite guidée du vignoble
Après le brunch-buffet, plusieurs en ont profité pour participer à la visite guidée du vignoble et à une dégustation. D'autres ont opté pour une visite de l'Abbaye Saint-Benoît-du-Lac, du village de Magog, ou pour une croisière sur le lac Memphrémagog.
Séance d'information "pré-voyage"
Une cinquantaine d'inscrits au voyage des familles Perron en France, sur un total de 74, étaient présents à la séance d'information présentée par Cécile et Guy Perron, membres du comité-voyage, et Madame Yolande Poulin, de Groupe Voyages Québec inc.
Pour ajouter à l'ambiance, Mme Poulin portait une robe médiévale, Cécile, un costume breton et Guy, un bérêt et foulard "à la française". De plus, le comité-voyage a offert un verre de vin blanc, "Sélection Perron", aux personnes présentes qui ont reçu la documentation et conseils d'usage.
Les Rainbow Cloggers
En fin d'après-midi, la troupe "Rainbow Cloggers" offrit une performance qui dura près d'une heure. Tous ont été réjouis par leur rythme entraînant.
La responsable de l'organisation de cette journée, Gabrielle Perron-Newman, de Lennoxville, était secondée dans tous les préparatifs de cet événement par son époux, Doug. Après le souper, l'Association a rendu hommage à sa première présidente, Francine Perron pour son leadership et son dévouement. Le président actuel, Claude G. Perron, lui remit une plaque la consacrant "Membre honoraire", un titre bien mérité.
Départ de Mirabel (vendredi, le 8 septembre 1995)
Pendant que les Perron se préparent frébilement au départ, un article paraît dans le quotidien "Paris Normandie" (édition du 8 septembre) annonçant qu'... "une délégation de l'Association des familles Perron arrive demain en France. Un hommage aux ancêtres dont certains sont originaires de Rouen".
Cette délégation s'embarque à 23h sur le vol d'Air Transat à Mirabel à destination de Paris.
Arrivée à Paris (samedi, le 9 septembre 1995)
Vers 13h, nous faisons la connaissance des guides (Muriel et Christine) et des chauffeurs (Abdel et Pierre). Les deux autocars quittent l'aéroport pour la ville de Rouen.
La Normandie
Nous découvrons la Normandie de l'ancêtre Joseph Dugrenier dit Perron, attirante par ses paysages riches aux couleurs vivaces. Tantôt ce sont d'innombrables champs de blé et d'orge sur l'or desquels se découpe parfois le carré vert d'un champ de lin, tantôt ce sont des vallées paisibles où le bétail broute l'herbe grasse.
Rouen
Le quatrième port de France et la métropole incontestée de la Haute-Normandie, Rouen est une ville chargée d'histoire, hérissée de tours et de flèches, "ville aux cent clochers".
Nous sommes attendus à l'Hôtel de ville à 17h. Devant le portail de l'édifice, une photo de famille est prise pour la "postérité", puis c'est le cousinage chaleureux avec des homonymes normands et huit membres du conseil de l'Association France-Canada, Comité Basse-Seine, dont la présidente, Mme Huguette Dillard. M. Jean-Claude Dufresne, adjoint au maire, nous accueille en compagnie de Mme Armelle Robic, directrice de l'Office de Tourisme et de Mme Dillard.
Notre président reçoit la médaille de la ville au nom de notre Association, et à chacun des participants est remis le "Diplôme de Citoyen d'Honneur de l'Ouest de la France". En échange, l'Association offre à M. Dufresne ses armoiries sculptées sur bois, présentées par l'artiste lui-même, Jean-Claude Perron.
Cécile et Guy Perron en profitent pour discuter longuement avec les journalistes du quotidien "Paris Normandie" et de l'hebdomadaire "Liberté Dimanche" tant de la raison d'être de l'Association que des buts et objectifs de ce voyage "Retour aux sources".
Rouen (dimanche, le 10 septembre 1995)
À 10h, les membres du groupe Perron se rassemblent à l'église Saint-Maclou où le Père Raymond Prévost, curé de la paroisse, et le Père Renaud Perron concélèbrent une messe de reconnaissance spécialement pour eux. Nicole, Marlène et Pierre Perron font les lectures appropriées. Si la présence de journalistes, d'un cameraman et d'un reporter de la télévision régionale France 3 intrigue les paroissiens, elle rend encore plus fiers nos Perron!
La messe terminée, tous se dirigent vers les fonts baptismaux pour assister au dévoilement de la plaque commémorative rendant hommage à Pierre Dugrenier et à son fils, l'ancêtre Joseph Dugrenier dit Perron. Claude-G. et Cécile Perron prononcent les mots de circonstances puis, après le dévoilement proprement dit, nous sentons l'émotion nous gagner quand Marlène, Pierre et le Père Renaud Perron se joignent à Cécile pour faire la lecture du texte de la plaque.
Après la cérémonie, nous nous rendons à la sacristie pour y partager le vin de l'amitié et converser avec nos cousins normands.
Dans l'après-midi, nous découvrons Rouen la magnifique qui nous raconte sa riche histoire à travers ses superbes monuments. Il y a la Cathédrale Notre-Dame, l'Aître Saint-Maclou, le Palais de Justice, la tour du Gros-Horloge et l'église Sainte-Jeanne-d'Arc.
En soirée, un joyeux souper allait clôturer les festivités rouennaises. En effet, tous se sont retrouvés dans la charmante ferme-auberge "La Route du Cidre", à Montreuil-en-Auge, toujours en compagnie de la présidente du Comité Basse-Seine de l'Association France-Canada, de quelques membres du conseil et autres membres de cet organisme.
Honfleur, Le Calvados, Bény-sur-Mer (lundi, le 11 septembre 1995)
Bien installés dans les autocars, nous roulons vers Honfleur, ville portuaire très ancienne. Au tout début de notre visite, notre attention est attirée par une plaque commémorative surmontée du buste de Samuel de Champlain, celui qui a fondé Québec en 1608. Puis nous nous rendons à Pont l'Évêque, plus précisément chez le "Père Magloire", où nous attend une dégustation de calvados.
Nous faisons route par la côte en direction de l'endroit où se trouvait "Pegasus Bridge", ce célèbre pont qui fut stratégique lors de la dernière guerre mondiale. Puis, au cimetière canadien de Bény-sur-Mer, nous nous recueillons au milieu des pierres tombales qui se dressent, blanches et droites, dans l'enceinte vénérée. Un peu plus loin, c'est Arromanches-les-Bains et ses plages du Débarquement du 6 juin 1944.
Villedieu-les-Poêles, le Mont Saint-Michel (mardi, le 12 septembre 1995)
À l'Atelier de Cuivre de Villedieu-les-Poêles, nous rendons visite aux dinandiers, ces hommes qui pratiquent l'art du cuivre repoussé. Puis une courte marche nous mène à la Fonderie de cloches.
Nous avons ensuite le grand bonheur de découvrir la "Merveille de l'Occident": le Mont Saint-Michel, haut lieu de la spiritualité médiévale. Nous entrons en Bretagne en fin d'après-midi.
Saint-Malo, Brest (mercredi, le 13 septembre 1995)
Nous visitons l'une des plus belles villes closes d'Europe occidentale, la ville natale de Jacques Cartier: Saint-Malo. Puis, c'est la visite du manoir rural de Limoëlou, à Rothéneuf, où l'explorateur Jacques Cartier passa les dernières années de sa vie. En après-midi, nous nous dirigeons vers Brest.
Une surprise nous attend au souper pris à l'Hostellerie Abbatiale à Bénodet. En effet, M. André Péron, son épouse, et leur fils, Pierre, tous de Pont-l'Abbé, ont répondu à notre invitation. À la fin du repas, M. André Péron nous dit quelques mots en breton et chante l'hymne national breton en ... breton. Quelle fierté enivre notre cousin breton!
Quimper, Pont-l'Abbé, Saint-Guénolé (jeudi, le 14 septembre 1995)
Initialement ceinte de murailles, la ville de Quimper garde l'organisation d'une ville fortifiée. La visite de la faïencerie HB-Henriot nous permet d'admirer les diverses techniques d'un artisanat issu d'une longue tradition.
Nos "cousins bretons", André et Pierre, nous rejoignent et nous invitent à la mairie de Pont-l'Abbé. Anick Leloch, maire récemment élue, souhaite la bienvenue au groupe et se dit toute étonnée de voir autant de Perron!.
C'est à Saint-Guénolé que nous remarquons un toponyme intéressant, une rue appelés "François Péron"! Et sur la route, un garage Péron! Ce n'est pas étonnant, puisque dans toute la France, c'est en Bretagne qu'il y a le plus de Péron et Perron et autres variantes de ce patronyme.
Quiberon, golfe du Morbihan (vendredi, le 15 septembre 1995)
En cette matinée pluvieuse, nous nous enfonçons davantage dans les terres en direction de Quiberon, ancienne île de granit reliée à la côte qui offre une vue imprenable sur les falaises et la côte. Quelques instants plus tard, nous voilà plongés dans un tout autre temps: la préhistoire. C'est à Carnac que nous visitons les menhirs.
La pluie est moins forte quand nous montons à bord du "Duc de Bretagne" pour une croisière dans le golfe du Morbihan, petite mer intérieure de 100 km carrés. Les Perron prennent place aux tables dressées, car un excellent repas nous attend. En fin d'après-midi, nous faisons un court arrêt à Vannes.
Nantes, La Rochelle, Thairé (samedi, le 16 septembre 1995)
Un tour guidée de la ville de Nantes se fait par autocar. Nous admirons le superbe tombeau de marbre blanc des parents d'Anne de Bretagne qui reposent dans la cathédrale Saint-Pierre. Puis nous contemplons l'extérieur du château des ducs de Bretagne, où Anne naquit en 1477. En 1499, elle épousait le roi Louis XII, apportant en dot, la Bretagne à la France.
En après-midi, nous nous dirigeons vers une région très différente, où les toitures se couvrent maintenant du rouge particulier du Poitou-Charente. Enfin, nous entrons fébrilement dans une ancienne petite province de France, l'Aunis, dont la capitale est La Rochelle, cette Rochelle des Perron dit Suire.
Les festivités rochelaises débutent par une réception que nous offre l'Institut francophone de généalogie et d'histoire au Technoforum. Madame Jeanne Drouet, présidente et fondatrice de l'IFGH souhaite la bienvenue aux Perron. Chacun reçoit un parchemin sur lequel figure un contrat d'engagés levés par François Peron. De quoi être fiers!
Peu après, nous nous dirigeons vers Thairé, village natal de Louise Gargotin, l'épouse de Daniel. Le maire de l'endroit, M. Jacques Bouhier, nous reçoit très chaleureusement dans son petit village de 300 habitants. Il remet à l'Association une coiffe, une réplique de celle que devait porter Louise à son arrivée en Nouvelle-France en 1663. Les habitants de Thairé qui, pour la première fois, recevaient un groupe nord-américain, avaient réalisé une belle exposition relatant l'histoire de leur village. Ils avaient aussi préparé un spectacle folklorique pendant lequel plusieurs d'entre nous se délient les jambes. En ce pays du Pineau des Charentes, il ne faut pas s'étonner de se voir offrir, en cocktail de bienvenue, cette boisson si rafraîchissante.
La soirée se termine en beauté par un magnifique spectacle son et lumière suivi d'un superbe feu d'artifice dans le port de La Rochelle, le tout organisé dans le cadre du Grand Pavois (salon nautique).
Château Perron, Cognac (dimanche, le 17 septembre 1995)
En ce dimanche matin, nous nous rendons dans la région de Bordeaux, au sud de La Rochelle, pour déguster un vin au cachet bien spécial puisqu'il porte notre nom. Le domaine du Château Perron est dirigé par M. Michel-Pierre Massonie, Premier Bailli de Lalande-de-Pomerol. Ce dernier est très heureux de nous recevoir, nous des Perron d'Amérique dans son Château Perron!
En plus de nous faire faire le tour du proprio, M. Massonie nous dirige vers l'église de Lalande-de-Pomerol, édifiée au XIIe siècle, et nous en fait l'historique. Quant au Château Perron, cette jolie demeure construite au XVIIe siècle, a été rehaussée d'un fronton portant le nom "Perron" au XVIIIe siècle.
Tous les vins du Château Perron vieillissent en fûts de chêne et sont collés selon les méthodes anciennes. M. Massonie nous explique que les vendanges sont faites à la main. Un parfum prononcé de violette leur donne un bouquet bien particulier. C'est ce que nous avons pu constater en dégustant un Château Perron 1992 et un autre 1993.
Jean-Claude Perron remet à M. Massonie les armoiries de l'Association qu'il a lui-même sculptées sur bois. Notre hôte nous affirme qu'il ne tardera pas à leur faire une place de choix: près de son Cuvier.
Après un dîner à Libourne, les organisateurs décident de faire une surprise aux Perron. C'est une dégustation de cognac, cette fois, chez "Otard". Coïncidence, la ville de Cognac fête le 200e anniversaire de sa fondation.
En soirée, Mme Jeanne Drouet et son équipe de l'IFGH, nous attendent au Restaurant Le Bellevue, adjacent au Casino de La Rochelle. Pour l'occasion, une troupe folklorique danse au son de l'accordéon de Didier.
La Rochelle (lundi, le 18 septembre 1995)
La journée entière est consacrée au 330e anniversaire du décès de François Peron. C'est, en effet, le 18 septembre 1665 qu'il fut inhumé dans le cimetière de la Villeneuve. Dès 9h, le Temple de l'Église nous ouvre ses portes pour la célébration d'un culte commémoratif. La cérémonie, orchestrée par la Révérande Odette Perron et René Péron, est touchante.
Puis, en compagnie de M. Jean-François Paboul, Guy Perron nous mène à travers La Rochelle historique et aux principaux endroits où la famille Peron rochelaise habita durant un siècle. Sur la rue Saint-Yon, il y a toujours l'emplacement de la maison de même que la boutique où Daniel travaillait comme domestique de son père. Derrière la maison, l'impasse du Lion, une ruelle que les Peron connaissent bien. La rue des Fonderies où le cousin de Daniel, Luc, possédait une teinturerie tout comme son père, Luc Peron, (frère de François), sur la rue Gargoulleau. Enfin, c'est sur la rue Balangerie que les aïeuls de François avaient hérité, en 1623, de deux maisons situées côte-à-côte.
À 11h, M. Maxime Bono, premier adjoint au maire, nous offre une chaleureuse réception à l'Hôtel de ville. En après-midi, nous avons rendez-vous au Musée maritime pour une cérémonie bien spéciale: le dévoilement d'une plaque à la mémoire de François Peron. M. Claude Latrille, adjoint au maire, M. Patrick Schnepp, directeur du Musée maritime, et Mme Jeanne Drouet souhaitent tour à tour la bienvenue au groupe sous l'oeil vigilant de la caméra de la télévision régionale France 3.
Le moment est enfin arrivé, Claude-G. et Guy Perron procèdent fièrement au dévoilement tant attendu. La mémoire de François Peron, père de l'ancêtre Daniel Perron dit Suire, se perpétuera en sol français. La Révérende Odette procède à la bénédiction de la plaque. Jean-Charles et René, les doyens du groupe, font la lecture du texte.
La cérémonie terminée, chacun admire divers documents relatifs à la carrière de Peron. Idée originale de l'Association, cette exposition est présentée par le Musée maritime en collaboration avec l'Institut francophone de généalogie et d'histoire et les Archives départementales de la Charente-Maritime.
Par la suite, il y a réception à la Chambre de commerce au cours de laquelle M. Brenuchot, le Président, nous apprend qu'en 1761, la Chambre de commerce de La Rochelle avait adressé un mémoire au roi lui demandant que la France ne cède pas le Canada à l'Angleterre.
Le marais poitevin, Azay-le-Rideau, Villandry, Tours (mardi, le 19 septembre 1995)
Nous laissons à regret la Rochelle de nos ancêtres pour nous diriger vers le Poitou. Nous faisons une promenade en barque dans le Marais poitevin, la "Venise verte". Puis, nous nous arrêtons à la "Cave coopérative des producteurs de vins de Montlouis pour une dégustation d'un vin de Touraine.
Nous voilà en Val de Loire, la région des châteaux. Le château d'Azay-le-Rideau est bâti sur une île au milieu de l'Indre. Nous en admirons les appartements meublés et décorés de magnifiques tapisseries des XVIe et XVIIe siècles. Parmi les châteaux de la Loire, Villandry doit sa renommée à l'ensemble exceptionnel des jardins en terrasses qui l'enserrent. Bâti au bord de la Loire, c'est le dernier des grands châteaux de la Renaissance.
En fin d'après-midi, nous visitons la Chapelle des Ursulines et le Musée sur Marie de l'Incarnation. Nous voilà donc à Tours.
Chenonceau, Blois, Chartres (mercredi, le 20 septembre 1995)
Un autre château de la Loire nous fait signe, celui de Chenonceau, dit le château des dames, qui enjambe le Cher. Henri II l'offrit à sa favorite, Diane de Poitiers. Toujours le long de la Loire, Blois, sise tout au haut des collines, ressemble à une grande dame qui surveille son domaine.
Nous poussons ensuite jusqu'à Chartres, ville capitale de la Beauce. En passant, la Beauce française est très différente de la nôtre qui se distingue par ses collines et petites vallées. Dans le vieux pays, la Beauce est une plaine immense où se succèdent de riches champs de blé. Le principal point d'intérêt de Chartres est sa cathédrale Notre-Dame, chef d'oeuvre de l'art gothique.
Paris (jeudi, le 21 septembre 1995)
Le matin, un tour de ville nous dévoile le charme et la grandeur des monuments de Paris: la cathédrale Notre-Dame, les jardins du Luxembourg, la Place de la Concorde, l'hôtel des Invalides, le Champ de Mars, les arcs de triomphe, la tour Eiffel et le Louvre. Après un déjeuner délicieux au Restaurant du Moulin Rouge, l'après-midi se passe à Versailles où nous visitons l'éblouissant palais que devint le pavillon de chasse de Louis XIII, construit entre 1624 et 1632.
Le repas du soir se prend à l'un des restaurants des Champs Élisées, Le Batifol, puis nous gagnons le Pont de l'Alma pour nous embarquer sur le bateau-mouche qui nous dévoilera Paris toute illuminée.
Paris (vendredi, le 22 septembre 1995)
Chacun des participants occupe la première partie de cette journée selon son bon plaisir. En fin d'après-midi, nous sommes reçus à la Délégation générale du Québec par le directeur de l'administration, M. Bertrand Juneau, qui nous explique le rôle et les objectifs de cette institution à Paris, et nous en fait un court historique. Par la suite, le délégué général, M. Claude Roquet, rejoint le groupe et s'entretient avec nous.
Comme nous avions un peu de temps libre, les autocars nous attendent en bordure des Champs-Élysées pendant que nous prenons la photo de famille des groupes un et deux. En arrière-plan, on distingue l'Arc de Triomphe qui symbolise en quelque sorte le succès triomphal de notre "Retour aux sources".
Notre voyage tire à sa fin mais il ne se termine pas sur une note triste pour autant. Nous revoilà sur la Butte Montmartre. C'est le rendez-vous à la Butte en vigne pour une soirée du tonnerre, car quand les Perron fêtent, ils fêtent avec toute leur âme. Nos chauffeurs nous réservent une surprise: à la joie de tous, ils nous offrent un grand "tour de nuit" au coeur de Paris.


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